Situations de suspicion et d’intervention
Les tests de dépistage sont également utilisés dans le système carcéral.
Les tests de surfaces DrugWipe® A constituent là aussi un outil essentiel pour révéler la possession, le commerce et l’usage de substances illégales et pour soutenir la réinsertion. Le fonctionnaire peut utiliser l’outil de façon rapide, simple et fiable pour vérifier les cas de suspicion. Contrairement aux tests urinaires, les tests salivaires et de sueur ne présentent aucun aspect dégradant et leur utilisation est bien plus hygiénique pour la personne testée comme pour l’utilisateur.
Il existe des tests de surfaces DrugWipe® A pour chacun des types de stupéfiants les plus communément utilisés à travers le monde, offrant aux fonctionnaires de police des avantages décisifs dans le cadre de la détection de résidus ou d’indices.
Le test de surface contribue à la confirmation ou à l’élimination de soupçons de manière hygiénique, rapide et économique dans le cadre des recherches diffuses au quotidien. Le test de surfaces DrugWipe® A permet de détecter la présence de résidus de stupéfiants invisibles à l’œil nu. Les traces de stupéfiants présents sur les téléphones mobiles, volants de véhicules, sacs ou autres surfaces peuvent être mises en évidence de manière fiable en moins de 8 minutes. Le test de poche est simple d’utilisation pour les agents de police, peu encombrant et facilement réalisable à bord du véhicule de police.
Le nombre d’accidents de la route provoqués sous l’emprise de stupéfiants est en augmentation. Le test de surfaces DrugWipe® A contribue à expliquer les causes d’un accident dans le cadre des méthodes criminalistiques.
En cas de contamination du véhicule, de plus amples investigations peuvent être entreprises à l’encontre du responsable de l’accident.
La consommation des différents types de drogues évolue constamment et se diversifie et de nouvelles substances psychoactives font leur apparition sur le marché. Celles-ci sont fabriquées et commercialisées par le biais de laboratoires illégaux en Europe. En 2018, pas moins de 23 laboratoires de MDMA ont été découverts, notamment en Espagne, en Suède et aux Pays-Bas, de même que des laboratoires de fabrication d’héroïne en Europe de l’Est, en Espagne et aux Pays-Bas1. De plus, la saisie de plus de 3 millions de plants de cannabis en 2018 au sein de l’Union européenne indique que ce type de drogues est également produit à l’intérieur de l’espace européen1.
En cas de soupçon de trafic illégal, les professionnels en criminalistique peuvent utiliser le test de surfaces DrugWipe® F sans problème sur tout type de surface pour détecter des traces de stupéfiants et confirmer les faits.
Source :
1 Rapport européen sur les drogues 2019/2020 : https://www.emcdda.europa.eu/system/files/attachments/13242/HighlightsEDR2020_DE_Final_web.pdf